Pourquoi une revue ?
- Expliquer au grand public l’évolution des usages et les nouvelles possibilités offertes par l’avènement de l’économie collaborative et des nouveaux usages financiers.
- Faire de la vulgarisation financière pour donner les clés aux consomm'acteurs.
- Opérer une vérification intelligente des adresses des détenteurs d'un compte Morning.
Le naming
Le nom choisi est « La revue du cobanking ». Le terme revue annonce un contenu éclairé et intéressant sur un sujet spécifique. Il évoque un contenu riche mais plus court que le terme « Mag », tout en signifiant un support papier. Le Mag peut être associé à la presse « loisirs » (féminine, people, sportive…), contrairement à la Revue, gage de sérieux et utilisée dans le milieu professionnel.
Les objectifs
- Construire et faire connaître notre expertise
Encore peu connu en 2015, nous souhaitons nous positionner Payname comme initiateur du concept du cobanking avec une prise de parole unique et dans la durée dans un objectif de notoriété. Payname doit être identifié comme leader d’opinion sur les thématiques de l’économie collaborative et du paiement entre particuliers, grâce à des contenus riches, des prises de positions avant-gardistes, qui contribueront à notre référencement web ainsi qu’à notre visibilité auprès des citoyens français et des experts du secteur.
- Evangéliser et démocratiser le concept du cobanking
Créer nos propres sujets, c’est être pro-actif vis-à-vis des média qui n’aborderont que périodiquement nos thèmes de prédilection. Nous pouvons ainsi construire durablement une audience, « éclatée », difficile à toucher, à travers des publications régulières (à la différence et en complément d’autres actions, comme les campagnes adwords par exemple).
- Véhiculer notre identité pour rayonner et fidéliser
Proposer des informations riches et « désintéressées » commercialement nous offrira une plus grande visibilité et favorisera la fidélisation de nos lecteurs/utilisateurs. Ces contenus sont, par essence, plus faciles à relayer sur les réseaux sociaux (tribunes ouvertes, sujets de fonds, découvertes, coups de coeur…) et véhiculera nos valeurs.
- Toucher les leaders d’opinion
En écho au 1er objectif « se faire connaître », l’idée est d’être identifié comme un acteur majeur et incontournable du paiement et de l’économie collaborative par les décideurs, les experts, les journalistes, les bloggeurs et les politiques. Mettre en avant nos partenaires BtoB, disposer d’une tribune ouverte, d’interviews d’experts, etc., permettra, non seulement, d’éveiller l’intérêt des leaders d’opinion sur le cobanking, mais également d’obtenir de plus grands relais publics (voix sur les réseaux sociaux, articles dans la presse et les blogs, image positive auprès des personnages politiques).
- Générer des leads (Inbound Marketing)
Grâce à une démarche moins commerciale, nous augmenterons notre visibilité et notre notoriété sur du court, moyen et long terme. Traiter de sujets concrets, poussés et d’actualité, permet d'attirer une forte audience et d’engager la conversation pour transformer l’essai sans agresser commercialement.
- Animer l’équipe (Communication Interne)
Et si on faisait du Co-ntent Marketing ? Toujours dans les veines de la startup, ce projet reste éminemment collaboratif. Maintenir du contenu pertinent et de manière régulière est un gros chantier. Toute l’équipe sera impliquée à travers la proposition de sujets, le relai d’articles intéressants, le partage de réflexions, la diffusion de nos contenus… Et c’est un gain de temps et de motivation, puisque chacun s’exprime, monte en compétence sur différentes thématiques et tire partie de sa veille quotidienne.
- Attirer les talents (RH)
En véhiculant notre identité, nos valeurs, notre vision, nous éviterons sensiblement les erreurs de casting. Se démarquer avec une prise de parole inédite rend la startup attractive pour, peut-être, détecter nos futures perles rares.
Nos lecteurs
- Nos utilisateurs pourront accéder à la revue en ligne. Ils auront également le privilège de recevoir la revue papier s'ils le souhaitent en cochant l'option dans leur espace personnel. Cette démarche de fidélisation et d'éducation financière a également le mérite de faire une vérification complète des adresses postales de nos utilisateurs dans un objectif de contrôle interne.
- Notre cœur de cible est BtoC. Le but est faire connaître nos thématiques et nos services auprès du grand public. Une analyse plus poussée des personas (ex. trentenaire, citadin, sensible à la protection de l’environnement, lit GQ et DDurable) ainsi que des prises de parole des concurrents, nous permettra d’ajuster les sujets, les supports et les moyens de diffusion.
La cible secondaire est BtoB : les leaders d’opinion du secteur (journalistes, experts, bloggeurs, politiques, décideurs).
Les supports de communication
Multiplier les supports, c’est multiplier les chances d’être entendus, vus ou lus.
- La revue en ligne (type blog magazine) reprendra les articles de la revue papier et pourra également traiter les sujets chauds avec la réactivité dont dispose le web… C’est le support qui concentre tous les contenus dans un même endroit. Il permet de mesurer l’audience et la transformation des prospects.
- La revue papier peut être téléchargée depuis la revue en ligne (collecte de leads) et distribuée dans des lieux stratégiques. A l’image d’un tract, elle matérialise nos valeurs, à savoir, expliquer et donner accès à tous à l’économie collaborative afin que celle-ci perdure.
- Youtube (vidéos), Calaméo (revue numérique), podcasts (sons), infographies (messages visuels) : ces moyens permettent de fluidifier le discours et de rendre attractif les contenus.
- Révéler notre curation, proposer des Q/R pour apporter un service et engager nos lecteurs.
- Les livres blancs, les e-books participent au traitement de fonds de certains sujets qui méritent plus qu’un simple article. C’est le moyen de collecter les e-mails de nos lecteurs. (Ex. Le guide du parfait cobanqueur). Pour faire le lien de notre site web vers la revue du cobanking.
Nos canaux de diffusion
Ecrire c’est bien, être lu c’est mieux !
- La newsletter pour nos fidèles lecteurs identifiés.
- Les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Linkedin) pour augmenter et animer notre communauté.
- Le Flux RSS
- Les campagnes presse pour des événements particuliers, comme le lancement de la revue par exemple.
- Le blog pour faire des ponts entre notre stratégie de contenu et la communication produit auprès de nos utilisateurs.
- Les supports print afin que nos prospects et clients identifient la revue.
- Les événements et colloques auxquels nous participons / intervenons.
- Le pop up store avec un concept qui peut buzzer pour mettre la revue gratuite en visibilité et donc mettre en lumière nos services auprès du grand public. Le store éphémère attise la curiosité des passants (fort taux de mémorisation). Il permet de créer l’événement tout en véhiculant nos valeurs de proximité et nos différenciateurs.
- Les cafés du cobanking : ces ateliers de co-création sont régulièrement organisés et sont un relai pertinent vers un public ciblé.
Périodicité & Analytics
Le rendez-vous de la revue papier est trimestriel afin d'avoir de temps nécessaire à la rédaction de contenus qualitatifs et pour réduire les coûts d'impression et d'envoi. Les articles de la revue en ligne seront partagés sur plusieurs semaines pour maximiser les vues et le référencement naturel.
Afin d’adapter les contenus, ajuster les supports et la diffusion et rester toujours au top niveau, nous mesurerons le nombre de visites, les articles qui marchent le plus, les temps de visite moyens, le nombre de pages visitées, la provenance des visiteurs, les inscrits ainsi que les taux d’ouvertures et les taux de clics.
La ligne éditioriale
La revue contient une première et une quatrième de couverture ainsi que 10 pages de contenu.
Voici le chemin de fer de la revue du cobanking :